Biomasse Cartes Biomasse Sahel 2019 02/10/201902/10/2019 Au Sahel, on observe une situation très variable entre les pays. Alors que l’Est de la région a observé un démarrage normal de la saison végétative, le Sénégal et la Mauritanie à l’Ouest ont accusé deux mois de retard causant d’importants déficits de pâturage. Cette année fait suite à plusieurs années déficitaires dans ces pays augmentant le degré de vulnérabilité des communautés pastorales. Des poches déficitaires de biomasse sont également observées au Niger et au Tchad.Sénégal : Importants déficits dans le Ferlo (régions de Matam, Saint Louis et Louga) ainsi que dans les régions de Thiès, Diourbel, Fatick, Kaolack et Kaffrine. La situation de la biomasse au Sénégal est déficitaire presque partout par rapport à l’année dernière.Mauritanie : Déficits très importants dans les régions de Brakna, Trarza et Gorgol. Déficits importants dans les régions du Guidimakha et de l’Assaba avec une situation plutôt favorable bien que très variable spatialement dans les Hodhs.Mali : Production de la biomasse globalement favorable, particulièrement dans les régions de Gao, Menaka et Tombouctou. Dans le reste du pays la situation est proche de la normale des 21 dernières années à l’exception de l’Ouest de la région de Kayes où des déficits importants sont observés.Niger : Production de la biomasse globalement moyenne, sauf dans les régions de Zinder et Diffa où on observe des poches déficitaires inquiétantes surtout dans la partie traditionnellement pastorale. Certaines zones de déficit sont également observées au Nord de la région de Tahoua ainsi qu’à la frontière entre les régions de Tillabéri, Tahoua et Dosso.Burkina Faso : Situation globalement normale, avec des déficits modérés dans la région de l’Est et de la boucle du Mouhoun (départements de Oudalan et du Soum).Tchad : Production légèrement excédentaire avec quelques poches déficitaires au Nord du pays (région de Kanem, Ennedi Ouest et Wadi Fira). Recommandations : Informer les organisations pastorales dans les zones déficitaires et corroborer les informations sur la situation de la biomasse afin de préparer au mieux la transhumance.Revoir les plans de réponse et plans de contingence pour faciliter l’adaptation à la soudure pastorale potentiellement précoce dans les zones de déficit.Point d’attention sur la pluviométrie : souvent, le cumul de la pluviométrie est utilisé comme proxy pour l’analyse de la biomasse. Or, le cumul pluviométrique peut souvent cacher des nuances importantes, particulièrement si nous avons une forte pluviométrie sur une période très courte suivi par de longues périodes sèches. Cette situation n’est pas favorable à la croissance de la végétation, même si on atteint une pluviométrie cumulative excédentaire. De plus, cela peut causer des inondations destructrices comme ce fut le cas fin août au Guidimakha (Mauritanie) augmentant la vulnérabilité des communautés.D’ici la fin du mois d’octobre, le bulletin régional ainsi que l’analyse de la biomasse par pays seront disponibles sur ce site.Pour plus d’informations sur comment lire les différentes cartes, veuillez cliquer ici.
Burkina Faso Réseau Billital Maroobè. Situation pastorale au Sahel. Aout 2019 24/09/2019FAITS SAILLANTS Situation très inquiétante en Mauritanie et au Sénégal. Le retard dans le démarrage de la saison végétative pourrait ne jamais être rattrapé. Ces déficits interviennent dans des zones subissant des sécheresses successives depuis 2016. Situation au Mali, au Burkina Faso et au Nigéria proche de la normale, voire excédentaire. Poches importantes de déficit en pâturage et en eau au Niger et au Tchad. Insécurité persistante au Burkina (Sahel, Est) Mali (Gao, Ménaka, Mopti, Tombouctou, Ségou), Niger (Diffa, sud Maradi, Tillabéry, Tahoua) avec enlèvements pour rançon et vols d’animaux. Fortes concentrations d’animaux dans la zone des 3 frontières (Sahel du Burkina, Tillabéry au Niger et Gao au Mali), au Niger à Maïné et Kablewa dans la région de Diffa, à Kellé et Tamaya dans les régions de Zinder et Tahoua. Départ précoce en transhumance des animaux de la Mauritanie vers le Sénégal et le Mali. Des centaines de ménages déplacés au Mali et au Burkina Faso. Remontée des prix du bétail à la faveur de Tabaski et terme de l’échange normal à favorable dans l’ensemble.Trouvez ici le bulletin sur la situation générale au Sahel. Pour la carte seulement, cliquez ici.
Biomasse Bulletin d’information : Etat de la biomasse et de l’eau de surface au Sahel à la mi-saison de l’hivernage 2019 05/09/201905/09/2019L’état de la biomasse au Sahel à la date du 22 aout 2019 est inquiétante particulièrement au Sénégal et en Mauritanie qui enregistrent un retard de démarrage de la saison de plus de 2 mois. Ce retard est d’autant plus inquiétant qu’il sévit dans des zones qui ont déjà observé des déficits importants en biomasse de 2016 à 2018. Cette même situation prévaut dans certaines régions du Niger, à Tillabéry, au Nord de la région de Zinder, à Diffa et dans l’ouest du Mali, particulièrement dans le Nord-Ouest de la région de Kayes, où des déficits importants ont été observés. Au Nord du Tchad, nous notons également quelques précocupations à certains endroits où nous enregistrons des productions de biomasse quasiment nulles. Seuls le Burkina Faso, le Nigéria, le Cameroun et une partie du Mali, présentent des situations moins inquiétantes avec une production proche de la normale à légèrement supérieure à la normale.Pour accéder au bulletin complet, cliquez ici.
Burkina Faso Réseau Billital Maroobè. Situation pastorale. Mars 2019 26/03/201912/04/2019Faits saillants • Disponibilité contrastée du pâturage, généralement satisfaisante mais marquée par des poches déficitaires et une diminution progressive. Les déficits les plus importants sont enregistrés en Mauritanie. • Quand la ressource est disponible, le problème en demeure l’accès difficile, voir impossible, en raison notamment de l’insécurité (Mali, Niger, Burkina Faso). • Cette mobilité contrariée entraîne de fortes concentrations et du surpâturage, qui provoque, surtout au Mali, une dégradation accélérée des pâturages. • Transhumance transfrontalière observée de la Mauritanie vers le Mali et le Sénégal ; du Burkina Faso, du Niger et du Nigeria vers le Bénin et le Togo ; du Burkina Faso et du Mali vers la Côte d’Ivoire ; du Mali vers le Burkina Faso et la Mauritanie. • Sud du Bénin interdit à la transhumance et décision des autorités d’expulser les transhumants de cette zone à partir du 10 mars. • Mise à disposition par le RBM appuyé par la Coopération Suisse de céréales et d’aliment bétail dans des zones ciblées du Burkina Faso, du Mali, de Mauritanie, du Niger et du Sénégal.Trouvez ici le bulletin sur la situation générale au Sahel. Pour la carte seulement, cliquez ici.Ci-dessus, les bulletins et les cartes pour les différents pays:• Mali: bulletin et carte;• Bénin: bulletin et carte;• Mauritanie: bulletin et carte;• Niger (Diffa): bulletin et carte;• Togo: bulletin et carte;• Nigeria: bulletin et carte;• Burkina Faso (Est): bulletin et carte;• Côte d´Ivoire: bulletin et carte;
Publications Réseau Billital Maroobè. Situation pastorale au Sahel à la fin de la saison des pluies 2018 07/12/201825/01/2019Faits saillantsLa campagne pastorale est globalement meilleure que la précédente qui avait abouti à une période de soudure précoce et particulièrement difficile. Toutefois, elle a été marquée par une forte mortalité du bétail dans certaines zones du Burkina Faso, du Niger, du Sénégal et du Mali, particulièrement en début d’hivernage, suite aux premières pluies qui ont durement affecté des animaux affaiblis par une longue saison sèche ;La saison des pluies s’est installée de façon contrastée, avec un démarrage précoce des pluies dans certaines zones et une arrivée tardive dans d’autres. En dépit de l’arrêt des précipitations par endroits, l’hivernage s’est souvent prolongé, même dans la bande sahélienne, jusqu’en octobre 2018 ;Les pâturages ont profité de cette situation et ils sont globalement satisfaisants, à l’exception des déficits de la Mauritanie et Sénégal, avec des poches déficitaires dans quelques zones du Mali, du Niger et du Burkina Faso ;Les points d’eau de surface ont enregistré un niveau satisfaisant de remplissage et permettront d’abreuver les animaux pendant plusieurs mois avant de faire recours aux puits et aux forages ;La situation sanitaire du bétail a été caractérisée par une généralisation des foyers de fièvre aphteuse dans toute la région, ainsi que par l’apparition d’une dermatose cutanée résistante aux traitements usuels au Togo, au Bénin, dans la région Est du Burkina Faso, dans la zone Ouest du Niger et au Nigeria ;Le bétail se vend à des prix dont la tendance est contrastée selon les zones d’élevage, en lien avec les disparités constatées dans l’évolution des prix des céréales et des aliments du bétail ;De manière générale, les troupeaux n’ont pas encore entamé la transhumance transfrontalière et se trouvent sur les terroirs d’attache ;Le problème qui persiste est celui de l’accès aux ressources naturelles dans la zone des trois frontières (Burkina Faso, Mali, Niger), dans la zone transfrontalière Mali-Niger, au centre du Mali et autour du lac Tchad en raison de l’insécurité. A cela s’ajoute le vol de bétail qui prend de l’ampleur. Par ailleurs, les premiers feux de brousse d’envergure ont commencé à détruire des pâturages, notamment dans le département de Podor au Sénégal.Cliquez ici pour télécharger le bulletin.Cliquez ici pour télécharger la carte.
Biomasse Rapport d’analyse de Biomasse Sahel 2018 19/10/201809/01/2024 FRANÇAIS ENGLISH Points SaillantsDans l’ensemble, la production de biomasse dans le Sahel pour la campagne 2018 montre une nette amélioration par rapport à la sécheresse de 2017. Cependant, il existe encore au Sénégal et en Mauritanie des zones de déficit préoccupant qui nécessitent une attention toute particulière. Ces zones pourraient potentiellement être sujettes à une saison de soudure précoce et prolongée. Outre le déficit en biomasse, ces zones connaissent un déficit en eaux de surface. Il s’agit de la cinquième année consécutive de déficit en biomasse dans les zones pastorales du Sénégal et de la Mauritanie.Alors que la majeure partie du Sahel connaît actuellement une « bonne » campagne, les communautés pastorales se remettent encore de la sécheresse de 2017/2018. Ainsi, les impacts des déficits en biomasse seront amplifiés à mesure que les troupeaux décimés auront du mal à trouver du pâturage et de l’eau.Ailleurs, on assiste à des déficits modérés de biomasse dans l’Est du Burkina Faso, le Centre du Mali (Mopti) et certaines parties de Tahoua et Tillabery au Niger. La plupart de ces zones déficitaires se trouvent à proximité de zones dégageant un excédent. Si la mobilité des troupeaux n’est pas entravée, les éleveurs devraient pouvoir trouver des pâturages. Cependant, dans les zones de conflit ou de banditisme (comme Mopti ou Tahoua), cela peut être moins évident.Malgré l’amélioration sensible des conditions depuis l’année précédente, la situation pastorale devrait continuer à faire l’objet d’un suivi. Les préparatifs de la période de soudure au Sénégal et en Mauritanie devraient être entrepris sans délai.RecommandationsConsultez le Guide d’alerte précoce d’ACF sur la biomasse disponible à l’adresse : tinyurl.com/alerte-precoceMener des évaluations rapides dans les zones déficitaires pour déterminer les besoins des communautésPouvoirs publics et acteurs humanitaires: ajuster les plans d’intervention et les dispositifs d’intervention d’urgence pour tenir compte de la période de soudure actuelle au début de la saison pastorale en Mauritanie et au Sénégal afin d’inclure éventuellement les interventions suivantes:Renforcement des services publics de l’élevage et des organisations pastoralesDistributions d’aliments pour animauxRavitaillement / DéstockageAssistance vétérinaire et vaccination du bétailTransferts monétaires
Publications Carte Biomasse Sahel 2018 03/10/201804/10/2018 Au Sahel, on observe une situation globalement favorable. Le plupart des pays ont enregistré une régénération de la biomasse et nous sommes dans une situation plus positive par rapport à l’année passée. En outre, nous observons des déficits importants au Sénégal et en Mauritanie et des poches déficitaires dans d’autres parties de la région qui méritent de l’attention.Sénégal : Importants déficits dans le Ferlo (régions de Matam, Saint Louis et Louga) et la vallée du fleuve Gambie (Kaffrine & Tambacounda). La situation au Sénégal s’est améliorée de façon considérable comparé à la saison des pluies déficitaire en 2017 (sauf pour Thiès et l’ouest de Louga, où la production de la biomasse et en dessous du niveau de 2017).Mauritanie : Déficits importants dans les régions de Brakna, Assaba et Gorgol, avec une situation plutôt favorable dans les Hodhs.Mali : Une production de la biomasse globalement favorable, particulièrement dans les régions de Gao, Menaka et Kidal. Néanmoins, on observe des déficits modérées dans la région de Mopti.Niger : Une production de la biomasse globalement favorable, sauf dans les régions de Tahoua où on observe des poches déficitaires dans l’ensemble des départements et un fort déficit dans les départements de Torodi et Say (Région Tillabéry).Burkina Faso : Une situation globalement stable, avec des déficits dans la région de l’est (particulièrement dans les provinces de Gnagna et Komondjari). On observe des déficits modérés dans la région du Sahel (départements Oudalan et Soum).Tchad : Production excédentaire avec aucun déficit noté dans les zones de pâturages habituelles. Recommandations : Informer les organisations pastorales dans les zones déficitaires et corroborer les infirmations sur la situation de la biomasse.Revoir les plans de réponse et plans de contingence pour une préparation de la risque d’une soudure pastorale potentiellement précoce dans les zones de déficit.Tenir compte des déficits notés dans les analyses multisectorielles pour la prévention et gestion des crises.Point d’attention sur la pluviométrie : Souvent, le cumul de la pluviométrie est assimilée comme un proxy pour l’analyse de la biomasse. Or, le cumul pluviométrique peut souvent cacher des nuances importantes, particulièrement si nous avons une forte pluviométrie sur une période très courte, suivi par de longues périodes sèches. Cette situation n’est pas favorable à la croissance de la végétation, même si on atteint une pluviométrie cumulative excédentaire.Dans les prochaines 2 semaines, ACF publiera les rapports d’analyse de la biomasse.Note sur l’anomalie « normalisée »: Cette carte différè un peu d’anomalie « classique ». Cela est une anomalie « normalisé » ou la production est mesuré en écart-type (Sigma), une lecture de l’anomalie selon une marge définie autour de la moyenne
Biomasse Bulletin sur la Production de Biomasse et l’Eau de Surface sur le Sahel, mi-saison d’hivernage 2018 07/09/201809/01/2024Points saillantsL’hivernage 2018 profite d’une pluviométrie globalement favorable sur l’ensemble des pays du Sahel et la production de biomasse suit cette tendance générale positive.Les régions au centre et nord du Sénégal enregistrent une pause des précipitations depuis la fin du mois de juillet, qui se traduit par un déficit de la production de biomasse impactant le développement des pâturages et des cultures. Le Sénégal est en situation négative de production de biomasse pour la 5ème année consécutive.Les régions de l’ouest de la Mauritanie, en particulier les régions de Brakna et de Trarza, sont déficitaires pour la seconde année consécutive.Les régions au centre et à l’ouest du Mali (Mopti, Kayes) enregistrent un déficit de production de biomasse modéré, qui pourrait être compensé par des prévisions modérément favorables de précipitation pour la fin de l’hivernage.Les régions l’ouest du Niger (Tahoua) ont subi un retard de l’installation de la saison des pluies, se traduisant par une faible production de biomasse en début de saison, mais la situation tend à s’inverser depuis le début du mois d’août, qui devrait conduire à une bonne reprise de régénération de la végétation pour atteindre une valeur normale.La région Est du Burkina Faso enregistre un léger déficit de la production de biomasse, mais qui tend vers un niveau de production normal depuis la mi-juillet.Pour télécharger le bulletin : cliquez ici
Burkina Faso Réseau Billital Maroobè : Bulletins de la Situation de la Soudure Pastorale de 2018 29/08/201822/01/2021Depuis 2013, le Réseau Billital Maroobè RBM initie une veille informative effectuée par ses antennes nationales. Le Réseau a assigné à la veille trois missions essentielles :Observer la dynamique pastorale et les modalités de circulation de l’information dans la zone transfrontalièreRelayer les informations relatives à la situation des pasteursFournir des éléments permettant de développer des stratégies opérationnelles transfrontalières d’accès aux ressources pastoralesAvec le support technique du Bureau Régional de l’Afrique de l’Ouest d’Action contre la Faim ACF-WARO, RBM rend disponibles les bulletins de la situation de la soudure pastorale sur les pays de son réseau ainsi que sur la région du Sahel.Ces bulletins sont accessibles ici :BéninBurkina FasoMaliMauritanieNigerNigeriaSénégalTchadTogoRégional Sahel
Sahel SAHEL : Une nouvelle approche pour garantir des systèmes de santé forts et résilients 10/08/201810/08/2018Le mandat d’Action Contre la Faim est de combattre la faim et la sous-nutrition. L’accès aux soins de qualité étant un déterminant clé de la sous-nutrition, l’organisation a décidé depuis 2010 d’augmenter ses activités en santé. En effet, l’amélioration globale et durable de l’accès aux soins de santé de qualité, ne peut se faire qu’en articulant une approche de renforcement de la structure du système de santé, avec un soutien direct à la prestation de services.C’est dans ce cadre qu’en 2013, Action Contre la Faim a développé une méthodologie qui vise à comprendre les forces et les faiblesses du système de santé et de la structure communautaire (diagnostic), afin de déterminer les actions prioritaires requises pour leur renforcement (programmation). Des études de diagnostic ont été conduites dans plusieurs pays du Sahel (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad) et qui ont permis de se faire une idée sur les défis à relever pour le renforcement du système de santé et de la communauté dans les zones d’études.Cependant, il existe encore peu d’informations sur les stratégies d’anticipation et les capacités d’absorption, d’adaptation et de transformation des systèmes de santé à répondre aux chocs sanitaires et nutritionnels dans la région. Il est donc primordial de documenter ces insuffisances afin de contribuer à renforcer la résilience des systèmes de santé de la région. C’est dans ce cadre que le bureau régional Afrique de l’Ouest d’Action Contre la Faim a réalisé deux études complémentaires visant à renforcer la résilience des systèmes de santé et à renforcer le fonctionnement des mécanismes et cadres de coordination face aux urgences sanitaires et nutritionnelles au Sahel .Ces deux études que nous avons le plaisir de partager avec l’ensemble des bailleurs, partenaires et acteurs sont disponibles sur les liens suivants:SAHEL: Évaluation de la résilience des systèmes de santé face aux urgences sanitaires et nutritionnelles : Études de cas au Mali et au Niger Pour télécharger ou visionner le rapport d’étude cliquer iciSAHEL: Une nouvelle approche pour garantir des systèmes de santé forts et résilients Pour télécharger ou visionner le rapport d’étude cliquer iciAnalyse des cadres et mécanismes de coordination pour la prévention et la réponse aux urgences sanitaires et nutritionnelles au Sahel : Études de cas du Niger et du Mali Pour télécharger ou visionner le rapport d’étude cliquer iciPour faire référence aux études: Camile Eric KOUAM – erickouam@yahoo.fr Fanta TOURE DIOP – ftoure@wa.acfspain.org Antonio VARGAS BRIZUELA – avargas@accioncontraelhambre.orgAction Contre la Faim – Juillet 2018 – waro@wa.acfspain.org